Jacques Cinquin
EXPOSITION EXCEPTIONNELLE DE TAPISSERIES
Hommage à Jacques Cinquin, artiste aubussonnais.
Parcours
« Né à Paris en 1942, Jacques Cinquin fait ses études de 62 à 64, jusqu’au diplôme, à l’’Ecole Nationale des Arts Appliqués de Paris. Son professeur d’art mural, Robert Wogensky, l’incite à venir à Aubusson, où il suivra un stage de quelques mois d’initiation au carton de tapisserie à l’Ecole Nationale d’Art Décoratif. En 65, il est maquettiste pour affiches des stations de métro et abribus, en 66 dessinateur à France Tapis Paris où il conçoit des centaines de tapis qui seront tissées à Beauvais. Il maintient le contact avec Aubusson et fait tisser ses premières tapisseries, épouse en 67 le peintre Françoise Lardeau. Les 2 années suivantes, c’est New-York qui l’attire et l’inspire, collaborant à la mise au point d’une trentaine de tapisseries de grand format et dessinant, peignant, exposant sur place.
En 70, c’est son installation à Aubusson, il enseigne le dessin au collège de Felletin. Deux ans plus tard, il enseigne la même matière à l’ENAD d’Aubusson. Durant la décennie qui va suivre, Jacques Cinquin va peindre et dessiner sur des thèmes qui lui ont amené un grand succès: le Tour de France, les bals populaires, les vacanciers sur la plage, le cirque…
En 1983, il est nommé professeur titulaire de l’atelier mural de l’ENAD et fait tisser sur son thème du cirque. Ses oeuvres rentrent dans des musées français, des ambassades et collections privées. Jacques Cinquin figure dans le Benezit et recevra quelques distinctions. Depuis 1967, il a exposé en France, à New-York et Washington, Toronto, Bruxelles, Monte-Carlo, Genève…
Sa dernière rétrospective date de 2011, conjointement à l’exposition posthume de son épouse Françoise.
En 2012 il se confronte à des sculptures monumentales en métal peint.
Depuis, Jacques voyage en Eu-rope et aux Etats-Unis, ce qui lui donne l’inspiration pour de nou-velles séries de dessins et carnets de voyages. Quand il ne circule pas, il partage son temps entre Aubusson et la Normandie où les falaises sont son dernier thème de prédilection.
C’est un grand plaisir de l’accueillir cet été à la Galerie AM’carta, où il nous présentera quelques oeuvres anciennes mais surtout sa nouvelle production, inédite à Aubusson. »
En 70, c’est son installation à Aubusson, il enseigne le dessin au collège de Felletin. Deux ans plus tard, il enseigne la même matière à l’ENAD d’Aubusson. Durant la décennie qui va suivre, Jacques Cinquin va peindre et dessiner sur des thèmes qui lui ont amené un grand succès: le Tour de France, les bals populaires, les vacanciers sur la plage, le cirque…
En 1983, il est nommé professeur titulaire de l’atelier mural de l’ENAD et fait tisser sur son thème du cirque. Ses oeuvres rentrent dans des musées français, des ambassades et collections privées. Jacques Cinquin figure dans le Benezit et recevra quelques distinctions. Depuis 1967, il a exposé en France, à New-York et Washington, Toronto, Bruxelles, Monte-Carlo, Genève…
Sa dernière rétrospective date de 2011, conjointement à l’exposition posthume de son épouse Françoise.
En 2012 il se confronte à des sculptures monumentales en métal peint.
Depuis, Jacques voyage en Eu-rope et aux Etats-Unis, ce qui lui donne l’inspiration pour de nou-velles séries de dessins et carnets de voyages. Quand il ne circule pas, il partage son temps entre Aubusson et la Normandie où les falaises sont son dernier thème de prédilection.
C’est un grand plaisir de l’accueillir cet été à la Galerie AM’carta, où il nous présentera quelques oeuvres anciennes mais surtout sa nouvelle production, inédite à Aubusson. »
Jacques Cinquin nous a quittés en 2019
Une exposition exceptionnelle de tapisserie à Saint-Georges-Nigremont
Trois tapisseries aimablement et gracieusement prêtées par la ville d’Aubusson : La Ponette, les 25 ans du festival du cirque de Monte Carlo et Vue d’Aubusson. Ce prêt a été facilité par Chantal Andoque, chargée de communication à la ville d’Aubusson et Fabrice Gosset employé à la mairie d’Aubusson et citoyen de St-Georges.
Les maires des deux communes ont facilité ce prêt qui a nécessité quelques aménagements pour installer les tapisseries sur les murs de l’église du 1 juillet au 21 septembre 2025.
Par ailleurs, des contacts établis avec Fabienne Cinquin, elle-même illustratrice, ont permis d’exposer des peintures de son père, lui appartenant.
Les maires des deux communes ont facilité ce prêt qui a nécessité quelques aménagements pour installer les tapisseries sur les murs de l’église du 1 juillet au 21 septembre 2025.
Par ailleurs, des contacts établis avec Fabienne Cinquin, elle-même illustratrice, ont permis d’exposer des peintures de son père, lui appartenant.